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Courrier des lecteurs

2023 à 2023

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Poissonnier à sec !

Bonjour Miguel,
Où peut-on se procurer le robot-tondeuse découvert dans les actus du 1er avril dernier ? Mon poissonnier a été dévalisé, il n'en a plus à vendre ! Cela reste toutefois une riche idée pour les clubs. Merci de pérenniser cette tradition, surtout en ces temps troublés où le moindre sourire vaut de l'or. Longue vie à ULMaG. Amitiés aéronautiques.
Philippe Noir - 03/04/20

Bonjour Philippe,
Je ne comprends rien à votre message ; cette histoire de poissonnier dévalisé... Serait-ce une subtile allusion à un éventuel canular dissimulé dans les actus du magazine ? Ce serait bien mal me connaître... Mon sérieux m'interdit tout amusement dans le travail ! Euh... Ou pas. Attendons la semaine prochaine pour connaître le fin mot de ce mystère. Merci de votre fidélité au magazine. Cordialement.
Miguel Horville - ULMäG.fr

Haute technologie sur piste

Bonjour,
La tondeuse autonome est une formidable invention. La technologie n'est pas réellement révolutionnaire d'ailleurs on la trouve sur de nombreux matériels. C'est l'idée de concentrer ces solutions innovantes dans une seule machine qui en fait un excellent produit technologique et sans doute un investissement pertinent pour les clubs. Ma seule réserve concerne la présence d'un robot sur une piste où un ULM peut atterrir à tout moment. Je pense qu'il faudrait imaginer une signalisation (pourquoi pas automatique) pour interdire la piste quand le robot est en fonction. Merci pour votre travail au service de notre passion.
Pascal C. - 02/04/20

Bonjour Pascal,
Excellente suggestion en effet. Sur une piste surveillée, cela ne pose pas trop de problèmes, mais sur une piste déserte, aïe... On pourrait imaginer également un procédé calqué sur l'illumination nocturne des pistes par appel VHF codé. Affaire à suivre. Cordialement.
Miguel Horville - ULMäG.fr


Coïncidences

Bonjour,
Pour illustrer votre éditorial de février 2020, l'Express titrait : Quand Jean d'Ormesson ironisait sur le ''bon'' timing de la mort d'un écrivain (par Audrey Kucinskas).
Jean d'Ormesson savait qu'il ne fallait pas disparaître en même temps qu'une superstar... et pourtant.
En 2008, l'auteur expliquait qu'il ne fallait pas disparaître en même temps qu'une autre grande célébrité pour ne pas être éclipsé. C'est pourtant ce qui lui est arrivé.
C'est certain : Jean d'Ormesson, disparu un jour avant Johnny Hallyday, aurait apprécié l'ironie de la situation. Il l'avait d'ailleurs théorisée.
Un écrivain doit faire attention à tout ce qu'il écrit, à tout ce qu'il dit et il doit faire attention à la façon dont il meurt, expliquait-il à Thierry Ardisson, dans un humour très noir. Vous savez, c'est très mauvais pour un écrivain de mourir en même temps que [Edith] Piaf. Piaf a pris toute la lumière pour elle et on n'a pas parlé beaucoup de [Jean] Cocteau.
Frédéric Formey - 08/03/20

Bonjour Frédéric,
Le mauvais timing, c'est pas de bol. On aurait pu imaginer des médias un peu moins inféodés capables de rétablir certaines inégalités. Mais comme ils en sont pour la plupart à l'origine, alors oui, il faut programmer avec prudence l'heure de sa mort si on veut rester dans les mémoires. On peut aussi avoir l'âme pudique ou être simplement discret et mourir avec décence, à défaut de panache. Cordialement.
Miguel Horville - ULMäG.fr

Humour douteux

Bonjour,
Lecteur assidu de votre magazine dans lequel j'ai puisé une quantité énorme d'informations pendant ma formation (récente), je dois vous dire que parfois vous faites preuve d'un humour dont je n'ai pas les clés. En particulier votre phrase du jour de ce matin me paraît déplacée (Quand les allemands volent, les alliés tombent. Quand les britanniques volent, les allemands tombent. Et quand les américains volent, tout le monde tombe !). Voila c'est tout. Rien de grave, il y a pire dans le vaste monde et dans notre petit univers de privilégiés qui ne s'en rendent pas toujours compte. Vive le vol, l'ULM et les gens de bonne volonté. Excusez moi de vous avoir dérangé pour si peu. Bonne continuation à ULMaG.
Patrick Sellin - 25/02/20

Bonjour Patrick,
Certaines rubriques du magazine sont contributives, à l'instar de la phrase du jour ou de la photo du jour Quand je reçois les éléments des sympathiques contributeurs, je vérifie les points fondamentaux (haine, polémique, discrimination...), et l'orthographe. En revanche il ne m'appartient pas de juger si l'humour est bon ou mauvais, ni le bon ou mauvais goût de certaines citations dont certaines issues de personnes influentes sont parfois sujettes à réflexion. C'est à chacun d'apprécier selon ses repères et sa sensibilité. Merci de votre courrier et de l'intérêt que vous portez au magazine. Cordialement.
Miguel Horville - ULMäG.fr

Réglo-radio

Bonjour,
Peut-on encore utiliser un VHF 25 kHz ? Par exemple dans l'espace non contrôlé. Ou bien le fait de posséder une radio 25 kHz à bord constitue-t-il déjà une infraction ? Cordialement,
Johannes Booden - 20/02/20

Bonjour Johannes,

Voici le texte visible sur le site de la DGAC (février 2020) :

Dates limites pour l’équipement de moyens radios 8,33khz en espace aérien inférieur
Mise en œuvre du 8,33 en France

Le règlement d’exécution (UE) n° 1079/20121 prévoit que les aéronefs civils munis d’une radio et qui évoluent dans les espaces aériens de la région EUR (espace aérien au-dessus du continent européen) gérés par les États Membres, disposent d’équipements pouvant utiliser les espacements de fréquence 8,33 kHz au plus tard, le 31 décembre 2017. Cette exigence est déjà en vigueur dans l’espace aérien supérieur (FL 245 et au-delà) en France depuis 1999.

Afin de prendre en compte les contraintes liées à la mise en conformité de la flotte d’aviation générale, la DGAC a établi et notifié à la Commission Européenne, un plan de conversion progressif des fréquences de radio communication employées en espace aérien inférieur, dérogeant à certaines échéances du règlement comme ce dernier le prévoit.

Les échéances d’équipement avec des moyens radios 8,33 prévues par le règlement sont ainsi reportées de 8 mois à 3 ans pour les espaces aériens à contact radio obligatoire. A compter du 1er janvier 2021, dans un espace aérien à contact radio obligatoire, tous les aéronefs devront être équipés d’une radio 8,33.

Les assignations de fréquence des services de navigation aérienne en espace aérien de classe A, C et D (notamment autour des aérodromes contrôlés) seront progressivement converties à l’espacement 8,33 kHz entre le 1er septembre 2018 et le 30 juin 2019. Il est rappelé que tout moyen radio utilisé pour établir des communications sur une fréquence 8,33 kHz doit être compatible avec l’espacement de fréquence en 8,33 kHz.

Les assignations de fréquence des aérodromes situés en espace aérien de classe G et dans les espaces aériens de classe E seront progressivement converties entre le 1er janvier 2021 et le 31 décembre 2021.

Les changements de fréquence seront portés à la connaissance des usagers de l’espace aérien par la voie de l’information aéronautique.

Les dispositions qui précèdent s’appliquent sous réserve des dispositions particulières prises à l’égard de certains aéronefs d’État.

Note 1 : à partir du 13 septembre 2018 (début du cycle AIRAC 01/18), tous les plans de vol IFR des aéronefs civils qui ne mentionnent pas la capacité 8,33 kHz seront systématiquement refusés.

Note 2 : La mise en œuvre de ce règlement permet notamment de répondre à l’augmentation du nombre de demandes d’assignations de fréquences pour la gestion de l’espace aérien et la fourniture des services de navigation aérienne. Un récent rapport d’Eurocontrol montre que pour la première fois, en 2017, environ 40% des demandes de fréquence n’ont pas pu être satisfaites.

1 Règlement d’exécution de la Commission du 16 novembre 2012 établissant des spécifications relatives à l’espacement des canaux de communication vocale pour le ciel unique européen

Rien à ajouter, le texte est clair.

Cordialement
Miguel Horville - ULMäG.fr


Bonjour Miguel,
Bravo ! Ton éditorial de janvier 2020 est très drôle et tellement vrai. Bon, très bien, mais rassure moi : fais tout de même le minimum en prévol et consultation météo. Un briscard d'Abbeville s'est tué il y a un an pour ne pas avoir vu que la brume de mer qui lui fondait dessus (il n'a pas terminé son TDP). Cela doit rester évitable ! Une très bonne année et de beaux vols pour 2020 de la part de l'ULM Club de St André. Bien cordialement.
Joël Godard - St André - 30/01/20

Bonjour Joël,
Merci de ton courrier ; oui je te rassure, je jette toujours un oeil à l'essentiel avant de décoller. Sachant qu'en ces temps de météo merdeuse, une balade sur deux me conduit dans le voisinage immédiat, je vérifie que le ciel est dégagé sur le toit du hangar et que les pneus du zinzin sont gonflés. Ensuite, je largue deux ou trois litres de coco sur la piste au point fixe, je mets plein gaz pendant 2 minutes et je coupe le moteur pour finir en plané à sandwich-airport-intl. L'ULM, ou l'art de faire chauffer un moteur pour rien ! Cordialement.
Miguel Horville - ULMäG.fr




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