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Edito avril 2024
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ULM : la serpillière des profiteurs (partie 1)

Dans l'organisation d'une société, il y a :
- ceux qui créent le système,
- ceux qui alimentent le système,
- ceux qui vivent avec le système,
- ceux qui profitent du système,
- ceux qui dévoient le système.

Prenons l'exemple de notre vie en société occidentale : assurance chômage, écurité sociale, allocations familiales, retraite, congés ont été imaginés - non pas pour anéantir le malheur, c'est impossible - mais pour donner un peu d'unité à la société, en amortir les inégalités. C'était une vision altruiste du groupe, visant vers une possible harmonie.

Bien sûr qu'en pratique, chacun a cherché son avantage propre, usant et abusant des biais faciles, poussant l'égoïsme jusqu'à ce que tout ce casse la gueule, ce qui est objectivement le cas actuellement.

C'est ainsi. La nature humaine est telle que les maternités ne produisent que quelques individus honorables, et des cohortes de feignasses, inutiles, immorales et délétères.

Et je crois qu'aucune part de notre monde n'échappe à cette règle. Prêtres pédophiles ; politiciens corrompus ; révolutionnaires sanguinaires ; enseignants wokes ; médecins des labos ; simples citoyens individualistes, calculateurs, profiteurs ou mauvais... Y'a qu'à regarder une foule pour contempler la palette de tous les défauts de notre espèce.

Avoir la faculté de comprendre cela, c'est déjà prendre un certain recul et peut-être s'écarter du modèle vicié.

C'est également s'écarter des guildes de circonstance, des confréries consensuelles... bref de l'enrichissement et du pouvoir.

Aussi le peuple a-t-il pris pour habitude de nommer simplement les choses : braves gens pour les gens braves, et trous de culs pour les autres (ou merdeux, salopiaux, minables...).

Bien sûr, notre discipline n'échappe en rien à la description de cette société pluri-putride.

Pour ce premier opus traitant des parasites tombés dans l'ULM par pur intérêt, sans considération pour le mouvement, ni ses acteurs, je citerai la société Beyond Aero, française comme son nom ne l'indique pas, créée en 2020.

Beyond Aero est la contraction de Beyond Aerospace (source : annuaire entreprises .gouv). Manque de bol, si vous cherchez cette enseigne sur un moteur du web, vous ne trouverez qu'une société ricaine qui vend également du vent, mais sur support informatique.

Après quelques recherches apparaît le site internet Beyond Aero, tout en anglais parce que c'est plus smart que du vulgaire franchouille. Puis vu la finalité du concept, le sandwich est préférable, puisqu'on annonce à grand renfort de conférences que sont signés plus de 616 millions de dollars de lettres d'intérêt.

Bah... après tout, why not ? J'ai bien promis à mon chien 3 milliards de croquettes s'il arrive à calculer la courbe planaire d'une dimension fractale.

Of course, tu dois être connecté haut débit pour ouvrir les pages du site. Sur mon ordi rural, la lecture ADSL se fait au fil de longs chargements, sur fond noir ultra chébran. Mais c'est pas grave ; là où on s'intéresse au flux H², c'est près des serveurs, de la 5G et des tours de refroidissement. Chez bibi et les ploucs hasbeen de l'équitonneau, on a le porte-voix et le tracteur pour communiquer.

Cahin-caha, je surfe sur mon radeau et je trouve le lien ultime : ''discover our business aircraft'' (découvrez nos avions d'affaire).

Tu parles d'une secousse ! On va découvrir l'avion du futur...

Alors clic fébrile, attente interminable, préparage d'un café, versage en tasse dudit café, sucrage, touillage et... encore un instant... Yep ! Page noire avec ONE : First electric business aircraft
designed for hydrogen propulsion (premier avion d'affaires électrique conçu pour la propulsion à hydrogène).

Z'ont bien fait d'ajouter ''business'', parce que pour la culture du commun des startuppers, l'ancien champion du monde de deltaplane Gérard Thevenot a traversé la Manche le 6 août 2009 à bord d'un pendulaire électrique alimenté par une pile à combustible hydrogène. Il a même gratifié les spectateurs du salon de Blois d'une démonstration de vol à l'eau cette année là.

La page de découverte dudit ONE super génial moderne écolo ne montre qu'un croquis et donne quelques infos parcellaires parfaitement pas crédibles, car manquant totalement de référence. Ainsi lit-on 800 kW, sans précision sur ce à quoi correspond cette puissance (nommée efficacité dans le texte) ou encore 1,4 mW (mégawatt = million de watts) de puissance installée des piles à combustible...

Des chiffres, indémontrables pour la plupart ; des visages de jeunes gens très diplômés en plein de disciplines reluisantes, des centaines de millions de dollars de lettres d'intérêt (ici on cause business, donc dollar... l'euro, c'est bon pour les ploucs, même si in fine c'est ça qu'on va quémander).

Mais au fait, que montre Beyond Aero ?

Où est l'oiseau magnifique aux ailes si gracieuses qu'un aigle s'est suicidé de n'être pas aussi majestueux ?

Bah... dans un hangar de Gap, ou ailleurs... mais à l'état larvaire, ou embryonnaire.

A ce jour, Beyond Aero a fait voler un G1 SPYL-XL de G1 Aviation, ULM métallique français de bonne réputation avec une chaîne propulsive hydrogène composée de trois grosses bouteilles d'hydrogène gazeux de 19 kg chacune, d'une pile à combustible à hydrogène, de 5 grosses batteries, le tout entraînant un moteur électrique d'une puissance maximale de 58 kW. Ce démonstrateur ''Blériot'' est alimenté par 1,2 kg d'hydrogène gazeux stocké dans trois réservoirs comprimées à 340 bars, générant un équivalent puissance électrique de 85 kW (45 kW H2 + 40 kW batteries).

Le pilote d'essai Paul Prudent et l'équipe de Beyond Aero ont validé une campagne d'essais en vol complète dans le ciel haut-alpin, avec 10 décollages dont 2 vols complets, avec un ratio d'hybridation de ⅔ d'hydrogène gazeux pour ⅓ de batteries.

Pour résumer, 35 ingénieurs ont réussi à mettre en l'air une enclume monoplace de 80 ch pesant 600 kg.

Mais fort de cette imposture, on peut annoncer à la cantonade qu'on fait voler des avions à hydrogène !

Pour en finalité rendre plus aisée la pêche aux capitaux. On connaît la combine, vieille comme l'arnaque aux subventions, ou à défaut comme les rêves coûteux des inventeurs éphémères.

La lettre d'intérêt est l'articulation d'un coup de billard à deux bandes. L'idée est de réaliser une levée de fonds indirecte en se basant sur la publicité engendrée par l'intérêt d'entités potentiellement clientes du demandeur.

Le principe est que personne ne prenne de risque : ni le demandeur, ni sa caution potentielle.

Vous avez une idée possiblement juteuse ; par exemple un extracteur de pépins de pomme. Vous allez voir un fabriquant de compote et lui dites : ''si mon machin fonctionne, voulez-vous m'en acheter ?''.

Cela n'engage en rien Maître compotier de s'engager. Que risque-t-il ? Si le machin est bien, il achètera et sera gagnant, et si le machin est merdique ou n'existe pas, il ne l'achètera pas et ne perdra rien.

Et vous non plus du reste.

Mais fort de la promesse d'achat - la lettre d'intérêt - qu'on évalue au potentiel de ventes en cas de réussite, on valorise artificiellement un produit inexistant.

Il est donc beaucoup plus confortable ensuite d'aller voir un investisseur, un pépinière d'entreprise, un conseil régional, une multinationale ou un état, pour taper des pépettes.

Imaginez le truc... ''bonjour la grosse commission de Buxellesselle ! J'ai 616 millions de dollars de commande en cours, mais j'ai pas les euros pour lancer la fabrication de ma bouilloire atomique''.

Quelle institution serait assez fragmentée du bulbe pour ne pas s'associer à un tel marché, offrant de surcroît une hypothétique garantie de couverture et de possibles et multiples retombées.

On entre dès lors dans le domaine de l'abondement.

Le principe de l'abondement, c'est que le prêteur de blé est baisé au premier centime qu'il lâche.

Parce qu'il est comptable d'une expertise dans ses décisions, s'il a prêté 1 million de piastres, il a deux options lorsqu'on lui demande 1 million supplémentaire :
- refuser de cracher, et ainsi perdre son premier million, sa crédibilité (choix hasardeux) et accessoirement la face,
- ou continuer l'abondement (puis encore et encore) pour conserver sa place au rang des gens importants qui prennent des risques (avec le fric des autres, notamment des contribuables).

Ce qui peut se résumer ainsi : mieux vaut cracher au bassiner et laisser entrevoir qu'on est le roi des cons, plutôt que d'abandonner la partie et ne laisser aucun doute à ce sujet !

Voilà pourquoi il est si facile de prendre du blé aux institutions et ainsi de participer à la gabegie frénétique très en vogue actuellement : un démonstrateur tout pourri, une vitrine qui fait illusion, un discours bien rodé, de l'ambition, aucune honte, aucun respect pour la collectivité, zéro amour propre, une âme pourrie, avec bien sûr la certitude de ne jamais avoir à rendre de comptes.

Car tout ceci est légal. Bidon, moche, dégueulasse, mais légal.

Personnellement, je me tape que Pierre, Paul ou Eloa braque les capitaux publics de commissions bidons incapables de différencier une pile à hydrogène d'une batterie R6 au mercure. Nous avons laisser des cons nous diriger, c'est notre punition pour avoir été imprudents.

Ce qui me courrouce en douce et pas qu'un peu, c'est qu'on utilise une fois encore un ULM pour démontrer de grosses conneries de théories physiques à la mord moi le nœud. Bien sûr que cet avion ONE ne verra jamais le jour parce qu'il est bidon d'un bout à l'autre.

Que 35 ingénieurs y croient seraient grave, mais pas déconnant au regard du niveau d'inculture et de médiocrité des jeunes forces intellectuelles de la nation.

Mais il me paraît plus concevable qu'une poignée, peut-être trois d'entre-eux se soient concertés pour persuader les autres d'une invention révolutionnaire, avec le cynisme et la détermination de réaliser un énième braquage.

Parce que dans un autre registre et tant qu'à se foutre du monde version 5.0, le démonstrateur à propulsion électrique distribuée de Clean Sky Industrie a au moins la vertu de ne pas prendre en otage une discipline réelle.

De quoi cause-t-on, tontaine et tonton ?

D'un SFD (Scaled Flight Demonstrator), version réduite d'un avion de ligne, d'une envergure de 4 mètres et sensé reproduire ''à l'échelle'' le vol et les performances d'un véritable avion de ligne électrique. Mû par 6 moteurs électriques, cette maquette de 160 kg a réalisé un vol de 10 minutes, portant au paroxysme d'un orgasme postillonnant les tenants de cordons d'une bourse percée, éparpillant les deniers de l'ONERA (office national d'études et de recherches aérospatiales français), d'Airbus, du NLR (centre de recherche aérospatial néerlandais), du CIRA (centre de recherche aérospatial italien), de l'université technologique de Delft, d'Orange Aerospace...

Bref le fric de l'Europe, donc le nôtre, notre bien commun.

Mais au moins, on n'utilise pas l'ULM et son couvert fédéral pour valoriser une arnaque.

Parce qu'arnaque il y a ; chacun le sait, une maquette de 4 mètres n'a et n'aura rien à voir avec un avion de 200 tonnes. Seuls de brillants énarques peuvent croire de telles bêtises.

Et de toute manière la démonstration du vol électrique léger a été déjà brillamment faite par un Cricri électrique privé motorisé par Electravia en 2015 et une traversée de la Manche, devançant le coûteux démonstrateur E-Fan d'Airbus qui n'a pas fait mieux et l'a fait plus tard avec une débauche de pognon européen.

Le reste, les avions lourds, ne sont que des dahus pour technocrates en mal d'aventures épiques.

Les profiteurs ne sont pas ceux qui décident ; ce sont ceux qui profitent de la bêtise des décideurs. Mais peut-on réellement reprocher à un malin d'être plus malin qu'un idiot ?

Bons vols, en souplesse et en sécurité.

Miguel Horville

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